Sous un ciel d’or de Laura Wood. Pocket jeunesse, 2022. 8,30 €.
Fonds du CDI.
1929. Lou, dix-sept ans, vit dans une ferme des Cornouailles. Elle est fascinée par la magnifique demeure des Cardew, vide depuis des années. Écrivaine en herbe, elle y passe des après-midi seule, en cachette, à lire et à se rêver membre de la prestigieuse famille qu’elle épie dans les revues mondaines. Quand, à la faveur de l’été, les propriétaires investissent les lieux, Lou est soudain transportée dans le monde luxueux et pétillant de l’aristocratie anglaise. Au centre, un frère et une soeur époustouflants, dont elle devient de plus en plus proche. Tandis qu’un amour inattendu s’éveille en elle, Lou découvre que le champagne, le jazz et le charleston cachent de sombres secrets.
Un court roman historique acheté l’an dernier sur conseil de ma libraire et après avoir croisé pas mal de critiques positives, mais que je n’avais pas encore eu le temps de lire. L’écriture est fluide, l’histoire sympathique bien que parfois peut-être un peu simple et attendue mais les personnages sont assez attachants pour donner envie d’en savoir plus. Le mystère et les secrets sont un peu survendus par le résumé car j’en avais deviné la plupart assez vite mais finalement ça n’est pas là que réside l’intérêt du roman. Et après mes dernières lectures un peu lourdes, de la légèreté et de l’amour était bienvenu.